Photograph By Jan Symank
Jan S.
Photograph By Gerhard BuschEFIAP/AFIAP
Gerhard B.
Photograph By roger bourland
roger b.
Photograph By Gary Olson
Gary O.
Photograph By txules                                .
txules  .
Photograph By Gregory McLemore
Gregory M.
Photograph By mike cable
mike c.
Photograph By Anusuya Bairagi
Anusuya B.
 
imageopolis Home Sign Up Now! | Log In | Help  

Your photo sharing community!

Your Photo Art Is Not Just A Fleeting Moment In Social Media
imageopolis is dedicated to the art and craft of photography!

Upload
your photos.  Award recipients are chosen daily.


Editors Choice Award  Staff Choice Award  Featured Photo Award   Featured Critique Award  Featured Donor Award  Best in Project Award  Featured Photographer Award  Photojournalism Award

Imageopolis Photo Gallery Store
Click above to buy imageopolis
art for your home or office
.
 
  Find a Photographer. Enter name here.
    
Share On
Follow Us on facebook 

 


Send this photo as a postcard
L'Après Midi d'un Faune
 
Send this image as a postcard
  
Image Title:  L'Après Midi d'un Faune
  0
Favorites: 0 
 By: Salvador María Lozada  
  Copyright ©2005

Register or log in to view this image at its full size, to comment and to rate it.


This photo has won the following Awards




 Projects & Categories

 Browse Images
  Recent Pictures
  Todays Pictures
  Yesterdays Pictures
  Summary Mode
  All imageopolis Pictures
 
 Award Winners
  Staff Choice
  Editors Choice
  Featured Donors
  Featured Photographers
  Featured Photos
  Featured Critiques
   
 Image Options
  Unrated Images
  Critique Only Images
  Critiquer's Corner
  Images With No Critiques
  Random Images
  Panoramic Images
  Images By Country
  Images By Camera
  Images By Lens
  Images By Film/Media
   
 Categories
   
 Projects
   
 Find Member
Name
User ID
 
 Image ID
ID#
 
   
 Search By Title
 
   

Photographer  Salvador María Lozada {Karma:69375}
Project N/A Camera Model Sony Mavica
Categories Architecture
Journalism
Travel
Film Format
Portfolio Lens digital
Uploaded 5/8/2005 Film / Memory Type digital
    ISO / Film Speed 0
Views 482 Shutter
Favorites Aperture f/
Critiques 7 Rating
4.53
/ 3 Ratings
Location City -  Sarasota
State -  FLORIDA
Country - United States   United States
About Central court of the Ringling Museum of Fine Arts, Sarasota, Florida, taken in August 2000.
Random Pictures By:
Salvador María
Lozada


Ocean & Light

Sun & Reflection

Great Morning

Rooms with a View

Tree & Color

Magic Light

Clouds Como to my Life

Ocean & People

Smiles of India 2

Beach & Lady

There are 7 Comments in 1 Pages
  1
Galal El Missary   {K:84569} 5/13/2005
Salvador

Nice place to visit , Nice Dof , well done .

Galal

  0


Salvador María Lozada   {K:69375} 5/10/2005
Bárbaro, Eze. Increíble tu cultura mallarmeana.
Felicitaciones,
Besos,
P.

  0


Ezequiel Lozada Ezequiel Lozada   {K:17176} 5/10/2005
Claude Debussy (Symphonic poem, 1894). La source littéraire de L'Après-midi d'un faune est le célèbre poème de Mallarmé ...

L'Après-midi d'un faune
Églogue

Le Faune

Ces nymphes, je les veux perpétuer.
Si clair,
Leur incarnat léger, qu'il voltige dans l'air
Assoupi de sommeils touffus.
Aimai-je un rêve?
Mon doute, amas de nuit ancienne, s'achève
En maint rameau subtil, qui, demeuré les vrais
Bois même, prouve, hélas! que bien seul je m'offrais
Pour triomphe la faute idéale de roses.
Réfléchissons...
ou si les femmes dont tu gloses
Figurent un souhait de tes sens fabuleux!
Faune, l'illusion s'échappe des yeux bleus
Et froids, comme une source en pleurs, de la plus chaste:
Mais, l'autre tout soupirs, dis-tu qu'elle contraste
Comme brise du jour chaude dans ta toison?
Que non! par l'immobile et lasse pâmoison
Suffoquant de chaleurs le matin frais s'il lutte,
Ne murmure point d'eau que ne verse ma flûte
Au bosquet arrosé d'accords; et le seul vent
Hors des deux tuyaux prompt à s'exhaler avant
Qu'il disperse le son dans une pluie aride,
C'est, à l'horizon pas remué d'une ride
Le visible et serein souffle artificiel
De l'inspiration, qui regagne le ciel.
O bords siciliens d'un calme marécage
Qu'à l'envi de soleils ma vanité saccage
Tacite sous les fleurs d'étincelles, CONTEZ
? Que je coupais ici les creux roseaux domptés
? Par le talent; quand, sur l'or glauque de lointaines
? Verdures dédiant leur vigne à des fontaines,
? Ondoie une blancheur animale au repos:
? Et qu'au prélude lent où naissent les pipeaux
? Ce vol de cygnes, non! de naïades se sauve
? Ou plonge...
Inerte, tout brûle dans l'heure fauve
Sans marquer par quel art ensemble détala
Trop d'hymen souhaité de qui cherche le la:
Alors m'éveillerai-je à la ferveur première,
Droit et seul, sous un flot antique de lumière,
Lys! et l'un de vous tous pour l'ingénuité.
Autre que ce doux rien par leur lèvre ébruité,
Le baiser, qui tout bas des perfides assure,
Mon sein, vierge de preuve, atteste une morsure
Mystérieuse, due à quelque auguste dent;
Mais, bast! arcane tel élut pour confident
Le jonc vaste et jumeau dont sous l'azur on joue:
Qui, détournant à soi le trouble de la joue,
Rêve, dans un solo long, que nous amusions
La beauté d'alentour par des confusions
Fausses entre elle-même et notre chant crédule;
Et de faire aussi haut que l'amour se module
Évanouir du songe ordinaire de dos
Ou de flanc pur suivis avec mes regards clos,
Une sonore, vaine et monotone ligne.
Tâche donc, instrument des fuites, ô maligne
Syrinx, de refleurir aux lacs où tu m'attends!
Moi, de ma rumeur fier, je vais parler longtemps
Des déesses; et par d'idolâtres peintures
À leur ombre enlever encore des ceintures:
Ainsi, quand des raisins j'ai sucé la clarté,
Pour bannir un regret par ma feinte écarté,
Rieur, j'élève au ciel d'été la grappe vide
Et, soufflant dans ses peaux lumineuses, avide
D'ivresse, jusqu'au soir je regarde au travers.
O nymphes, regonflons des SOUVENIRS divers.
? Mon oeil, trouant les joncs, dardait chaque encolure
? Immortelle, qui noie en l'onde sa brûlure
? Avec un cri de rage au ciel de la forêt;
? Et le splendide bain de cheveux disparaît
? Dans les clartés et les frissons, ô pierreries!
? J'accours; quand, à mes pieds, s'entrejoignent (meurtries
? De la langueur goûtée à ce mal d'être deux)
? Des dormeuses parmi leurs seuls bras hasardeux;
? Je les ravis, sans les désenlacer, et vole
? À ce massif, haï par l'ombrage frivole,
? De roses tarissant tout parfum au soleil,
? Où notre ébat au jour consumé soit pareil.
Je t'adore, courroux des vierges, ô délice
Farouche du sacré fardeau nu qui se glisse
Pour fuir ma lèvre en feu buvant, comme un éclair
Tressaille! la frayeur secrète de la chair:
Des pieds de l'inhumaine au coeur de la timide
Qui délaisse à la fois une innocence, humide
De larmes folles ou de moins tristes vapeurs.
? Mon crime, c'est d'avoir, gai de vaincre ces peurs
? Traîtresses, divisé la touffe échevelée
? De baisers que les dieux gardaient si bien mêlée:
? Car, à peine j'allais cacher un rire ardent
? Sous les replis heureux d'une seule (gardant
? Par un doigt simple, afin que sa candeur de plume
? Se teignît à l'émoi de sa soeur qui s'allume,
? La petite, naïve et ne rougissant pas: )
? Que de mes bras, défaits par de vagues trépas,
? Cette proie, à jamais ingrate se délivre
? Sans pitié du sanglot dont j'étais encore ivre.
Tant pis! vers le bonheur d'autres m'entraîneront
Par leur tresse nouée aux cornes de mon front:
Tu sais, ma passion, que, pourpre et déjà mûre,
Chaque grenade éclate et d'abeilles murmure;
Et notre sang, épris de qui le va saisir,
Coule pour tout l'essaim éternel du désir.
À l'heure où ce bois d'or et de cendres se teinte
Une fête s'exalte en la feuillée éteinte:
Etna! c'est parmi toi visité de Vénus
Sur ta lave posant tes talons ingénus,
Quand tonne une somme triste ou s'épuise la flamme.
Je tiens la reine!
O sûr châtiment...
Non, mais l'âme
De paroles vacante et ce corps alourdi
Tard succombent au fier silence de midi:
Sans plus il faut dormir en l'oubli du blasphème,
Sur le sable altéré gisant et comme j'aime
Ouvrir ma bouche à l'astre efficace des vins!
Couple, adieu; je vais voir l'ombre que tu devins.

--------------

Those nymphs, I want to perpetuate them.
So bright,
Their light rosy flesh, that it hovers in the air
Drowsy with tangled slumbers.
Did I love a dream?
My doubt, hoard of ancient night, is crowned
In a many a subtle branch, which, remaining the true
Woods themselves, proves, alas! that alone I offered
Myself as a triumph the perfect sin of roses.

Let us reflect ...
or if the women you describe
Represent a desire of your fabulous senses!
Faun, the illusion flows from the cold blue eyes
Of the most chaste like a spring of tears:
But the other, all sighs, do you say she contrasts
Like the warm day's breeze in your fleece?
But no! through the still and weary rapture
Stifling the cool morning with heat should it struggle,
No water murmurs unless poured by my flute
On the thicket sprinkled with melody; and the
Only wind, quick to escape the twin pipes before
Scattering the sound in an arid rain, is,
On the smooth untroubled surface of the horizon,
The visible and serene artificial breath
Of inspiration returning to the sky.

  0


Salvador María Lozada   {K:69375} 5/10/2005
Sí creo que ahora uno empieza a darse cuenta de cuan limitada es la vieja Mavica. Aquí me jugé a hacer un contrtaluz audaz y creo que salio una foto expresiva de la luz enceguecedora de la siesta en el verano tropical. Por lo demás, muy lindo lugar y sorprendente museo. Gracias por lo del nombre, que pocos entendieron.
Besos, P.

  0


Ezequiel Lozada Ezequiel Lozada   {K:17176} 5/10/2005
Le faltó resolución a la Mavica, pero la composición está extraordinaria, así como el título y la extraña coloración del ambiente.
Excelente concepto.
Un abrazo
Ez

  0


George Black George Black   {K:102014} 5/9/2005
How Florida! You've made it into an attractive, fun image.

Best wishes,
--George

  0


Mary Brown   {K:71879} 5/9/2005
The pillars in the front framing the statue in the back looks good.
Mary
-

  0


  1

 

|  FAQ  |  Terms of Service  |  Donate  |  Site Map  |  Contact Us  |  Advertise  |

Copyright ©2013 Absolute Internet, Inc - All Rights Reserved

Elapsed Time:: 0.3125